Comme beaucoup d’entreprises, Onhys a vu son activité s’arrêter en mars 2020. Sébastien Paris, son Président, se souvient « avec la pandémie, la demande a brusquement changé. Nous savions simuler le comportement des gens dans des lieux publics mais il manquait un volet : comment évaluer la propagation d’un virus dans ces mêmes lieux. Nous avons donc travaillé avec le MIT pour développer un module de propagation. »
Comme beaucoup d’entreprises, Onhys (18 collaborateurs), ancien incubé sorti en décembre 2017, a vu son activité s’arrêter en mars dernier avec le début du premier confinement. »se souvient Sébastien Paris, son Président. « Dans la situation actuelle de limitation de déplacements, d’annulation d’événements, on comprend de suite ce que le module Covid-19 a pu apporter et l’intérêt qu’il représente aujourd’hui pour une reprise d’activité en sécurité. Il permet entre autres de simuler la propagation du coronavirus en fonction de la topographie, de l’activité des personnes et des choix d’aménagement. Il peut faire la distinction entre les individus contagieux, sains (donc avec risque d’infection) ou immunisés, prend en compte les différents vecteurs de transmission (contact direct, par une surface, par l’air).Autant de paramètres qui peuvent être configurés en fonction des nouvelles connaissances épidémiologiques. Dans cette période sanitaire difficile, c’est un outil qui s’est imposé pour faire face aux contraintes de gestion des flux lors de l’accueil du public et préserver la meilleure expérience visiteur tout en réduisant le risque de contraction de la maladie.Ce module a aussi permis à Onhys de traverser la passe difficile de 2020. , poursuit Sébastien Paris. »